Quelle chance nous avons eue de découvrir cette fabuleuse région. Le peuple tibétain est exceptionnel dans tous les sens du terme, par sa bravoure, sa ferveur, son respect et sa détermination à toute épreuve. Nous repartons grandis…
ATTENTION : cet article contient beaucoup trop de photos, on a pas réussi à plus restreindre notre sélection…patience pour le chargement 😉 et il y a plusieurs galeries incluses dans le texte…
C’est un sacré périple pour rejoindre le Tibet…De Xi’an, nous avons rejoint la ville de Xining dans laquelle nous passons une nuit. Ville peu intéressante. Nous profitons de faire des réserves de guerre pour le train le plus haut du monde qui doit nous amener à Lhassa en 22H de trajet. On est impatients de monter dans ce fameux train ! Environ 1000km de rails sur les 2000km que compte le trajet sont à plus de 4000m d’altitude. Pour que le sol reste gelé toute l’année (permafrost), les rails sont équipées d’un système de refroidissement. (Quelle folie !).
Plateaux désertiques du Qinghaï et Monts enneigés du Tibet nous attendent tout comme le col de Tanggula à 5072m (pendant la nuit). Nous espérons ne pas avoir le mal d’altitude bien que le train soit équipé d’oxygène au besoin.
14 octobre
Arrivée à Lhassa vers 11h du matin. La nuit s’est bien passée et nous n’avons pas senti l’altitude. A l’arrivée, un nouveau contrôle du permis tibétain nous permet de sortir de la gare. Ouf, aucune fouille et pas d’interrogatoires. Nous sommes accueillis avec un foulard en soie blanche de bienvenue et conduits à l’hôtel. C’est bien agréable de se faire guider sans avoir besoin de demander son chemin et déchiffrer une carte après 22h de train. L’hôtel est très beau et ça nous change de nos habitudes de backpackers !
On profite de l’après-midi de libre pour s’acclimater à l’altitude (3600m) et explorer la ville. Les ruelles du centre ville sont authentiques et l’architecture des bâtiments est typique tibétaine. On est impatients de découvrir le Potala et on se dirige dans sa direction à vive allure ! Waouw… C’est gigantesque et extrêmement beau ! On contemple le majestueux palais blanc et bordeaux qui surplombe la ville. On est presque émus d’être ici, sur le toit du monde.
Nous réalisons une jolie balade qui nous plonge dans l’ambiance particulière de cette ville caractérisée par la ferveur des pèlerins bouddhistes. Nous réalisons la kora, il s’agit d’une circumambulation (mouvement de faire le tour) d’un monument religieux (ici le Potala) dans le sens des aiguilles d’une montre et qui symbolise que l’on suit le Bouddha sur la voie de la sagesse. Au bord de ce chemin, il y a des moulins à prières qui sont des cylindres dorés symbolisant les prières tibétaines lorsqu’on les tourne (il en existe aussi de plus petits que les personnes âgées tiennent en main et font tourner inlassablement).
On passe aussi par le parc où l’on voit des danses traditionnelles tibétaines. Nous découvrons ensuite le quartier de Barkor et sa fameuse kora autour du temple de Jokhang. On retrouve un peu l’atmosphère du Népal et de Katmandou. On apprécie de suivre les pèlerins qui tiennent des moulins à prières en mains et des chapelets avec 108 perles pour les 108 représentations de Bouddha. La place centrale réuni les pèlerins qui se prosternent devant le temple, quelques fois pendant toute la journée.
Grosse journée pour être notre journée d’acclimatation 😊, mais on est directement charmés par Lhassa, ses ruelles, ses habitants aux joues brûlées par le soleil et aux sourires édentés.
15 octobre
Nous rencontrons notre guide, Tenzin, qui nous accompagnera pour les 8 prochains jours. Il parle très bien l’anglais et tout de suite, nous avons un bon feeling. Au programme, nous allons visiter le temple Jokhang dans la matinée et le Potala dans l’après-midi ! On est comme des gosses, on se réjouit beaucoup !
Nous reprenons le chemin de kora qui nous met dans l’ambiance et le guide nous explique que certains tibétains viennent en pèlerinage depuis le fin fond du Tibet, parfois à pied. Quelle ferveur ! Dans le temple de Jokhang, l’un des plus importants, on prend la mesure des connaissances de notre guide à propos de l’histoire du Tibet, et du bouddhisme. On est scotchés ! A la sortie du temple, on passe un joli moment à boire des thés dans un repère de locaux. Toutes générations et origines confondues, mêlent leur voix dans cette halle et nous offrent une jolie (et bruyante) immersion. Heureusement, le thé au beurre de yak n’est pas très tendance et tend à être remplacé par le thé au lait. Mais on a gouté quand même !
A 13h, nous sommes face au Potala et entrons pour profiter de voir le petit village à ses pieds. C’est le village de 7 ans au Tibet mais en beaucoup plus morne et silencieux puisque les maisons sont désormais inhabitées. D’ailleurs le Potala est presque vide lui aussi depuis que le gouvernement chinois l’a annexé. Parmi les 1000 chambres de la partie blanche (partie résidentielle), seules quelques unes sont occupées par des fonctionnaires du gouvernement. La partie bordeaux est consacrée à la prière et aux études religieuses. Nous apprécions de gravir les escaliers jusqu’à l’entrée. Le temps imparti pour la visite est de 50 minutes, bien dommage. Nous sommes impressionnés par les décorations dans les salles que nous pouvons visiter (photos interdites) : peintures murales très colorées bien qu’anciennes, suspensions en soie, statues richement décorées des Bouddhas, photographies des anciens dalaï-lama (excepté le 14ème (actuel) pour lequel il n’y a aucune mention officielle et dont la photo est interdite sous peine de prison ou amendes). Les tombes funéraires des précédents Dalaï-lama sont décorées d’or et de pierres précieuses, c’est magnifique ! La grande salle de prière laisse un sentiment de splendeur passée puisqu’aucun moine ne vient plus y prier et qu’elle est immense. Nous sortons par le coté opposé et rejoignons le bas de la colline pour la fin de la kora.
Nous profitons d’aller manger dans l’un des bons restaurant de Lhassa qui sert des mets locaux dans une salle joliment décorée avec ces peintures minérales si intenses (utilisées traditionnellement presque partout).
16 octobre
Nous avons constaté avec joie que l’hôtel dispose d’un petit déjeuner gratuit (on en abusera les prochains jours !). Nous partons découvrir les hauteurs de Lhassa et quelques monastères locaux au cours d’une jolie balade dans les collines alentours. Les deux petits monastères que l’on découvre (Pabongka et l’autre dont on ne connait pas le nom) sont bien plus typiques et le guide en profite pour discuter avec les moines présents. Dans l’une des salles un moine récite les mantras en tournant les longues pages allongées devant lui. C’est un joli moment malheureusement pour vous, les photos et vidéos ne sont pas autorisées dans les temples (normalement).
Nous devons un peu chercher le chemin mais c’est sympathique et nous discutons de la culture tibétaine avec Tenzin. Arrivés dans un monastère pour nonnes en plein moment de prière, nous pouvons entendre les mantras et faire quelques photos (floues et sombres malheureusement). Toujours, le guide nous explique les statues des innombrables bouddhas que l’on mettra une semaine à différencier (enfin seulement les 3 principaux, hein, pas les 108 représentations !).
Tout guillerets après ce monastère, nous déchantons lorsque l’on entend l’histoire d’un villageois de l’Ouest du Tibet, qui a dû quitter son village de force pour venir s’installer à Lhassa. Le gouvernement, a expulsé les habitants de plusieurs villages pour exploiter les mines de cette région. Nous sommes tristes de constater frontalement cette atteinte à la liberté bien que nous n’étions pas dupes auparavant. Il nous demande de partager son histoire avec nos amis et familles car il ne peut bien évidement pas le faire lui-même sous peine de représailles (voire pire). On repart à pied sur un « chemin-décharge » et on croise un cadavre de vache au passage (charmant).
Nous avons la chance d’arriver au monastère de Sera pendant le débat des moines. C’est un moment très intéressant qui nous permet d’observer une centaine de moines débattant deux à deux sur des sujets philosophiques tout en adoptant une gestuelle calculée. C’est particulier et bruyant mais assez rigolo. Les photos ne sont pas autorisées mais Elodie est blonde, elle n’a compris qu’après avoir pris quelques clichés !
De retour en ville, nous partons à la recherche d’un bol tibétain comme souvenir et entrons dans bon nombre de magasins pour dénicher la perle. Nous ne l’achetons pas, du moins pas tout de suite mais on sait que lorsqu’on écoutera son chant, cela nous rappellera le Tibet. Notre repas du soir, indien, nous mets dans l’ambiance de la suite du voyage et on l’apprécie pour ses saveurs différentes de l’habituel riz… Elodie en subira les conséquences les jours suivants…
17 octobre
En route pour l’ouest du Tibet et la ville de Shigatsé, nous avons l’occasion de voir de magnifiques paysages. Egalement quelques chiens très poilus et super rigolos !
Ensuite, le lac Yamdrok, un lac d’un bleu turquoise éclatant avec un très haut sommet enneigé en toile de fond. La vue est sublime et nous nous arrêtons également sur les rives de ce lac salé où personne ne s’y baigne étant donné son caractère sacré. Les Yaks sont de sortie au bord du lac, déjà parés à se faire photographier.
Nous passons par la suite d’autres cols entourés de glaciers dont le Karo La à 5010m. Elodie sent venir les conséquences du souper de hier et commence à être malade durant le trajet…Longue journée pour elle. Nous nous arrêtons en chemin dans la ville de Gyantsé, dans laquelle trônent fièrement une forteresse et un stupa bouddhique. Nous allons visiter le monastère et le stupa, nommé Kumbum qui signifie 100’000 images. Il est construit à la façon d’un mandala, à l’exception près qu’on peut y entrer et visiter les minuscules et nombreuses chapelles ornées de statues. Cette merveille architecturale est en rénovation et nous croisons des femmes portant de lourdes charges dans les escaliers. Nous nous faisons la réflexion qu’elles sont très investies dans les tâches ouvrières du pays, plutôt réservées aux hommes dans nos contrées. Arrivée en soirée à Shigatsé. C’est seul que Fréd part manger !
18 octobre
C’est à nouveau seul que Fréd part pour une journée de trek, la maladie a eu raison d’Elodie, trop faible pour effectuer une marche en haute altitude. Son programme sera : thé, soupes, thé, siestes et longue attente…
Je pars donc en compagnie de Tenzin pour la première étape de la journée, la lamaserie de Shalu. On y arrive tôt durant les offrandes du matin par les moines et l’allumage des lampes au beurre. Les lumières sont éteintes et cela donne une belle ambiance sombre. Pour commencer à marcher, on rejoint un petit village ou les paysans sont attelés au ramassage du foin pour l’hiver. Nous empruntons le lit de la rivière pour passer le col à 4’800m car les chemins aux alentours ont été abimés par les crues de l’été. On trace un peu notre propre chemin jusqu’au col et profitons de la belle vue, à l’abri du vent. Durant la montée, je ressens tout de même bien le taux d’oxygène faiblir mais nous avons néanmois beaucoup papoté avec le guide, de tout et de rien. Nous redescendons ensuite de l’autre côté avec une belle vue sur le monastère de Ngor. A la base, nous étions sensés dormir sous tente mais la température glaciale des nuits à cette période nous a fait renoncer. Retour à Shigatsé pour aller voir si Elod est en meilleure forme. C’est le cas, encore pas une forme olympique mais nous pouvons aller faire un p’tit tour dans la vieille ville. Nous y découvrons le marché local…
19 octobre
Deuxième jour de trek ou nous commençons par visiter le monastère Ngor. On arrive en plein durant les travaux pré-hivernaux. Au programme, peinture du bâtiment par les moines…c’est rigolo de les voir emmanchés ainsi et eux aussi sont amusés de nous voir. Comme notre guide est très sociable et qu’il engage souvent la discussion avec les gens que l’on rencontre, on a la possibilité d’échanger avec de jeunes moines. On marche ensuite 2-3 heures en redescendant la vallée à travers champs et villages. Les couleurs d’automne sont au rendez-vous.
L’après-midi, nous visitons la lamaserie de Tashilhunpo qui est l’un des principaux complexe monastique du Tibet. Nous commençons par réaliser la kora qui en fait le tour, pas mal d’escaliers, de chiens errants dormants, d’enfants apeurés et même une vieille dame qui nous offre des bonbons au sucre pour la gorge. Nous entrons dans l’édifice, très étendu, où plusieurs temples majestueux nous font face. Le mausolée du 10ème Panchen Lama est particulièrement impressionnant car il est orné de milliers de pierres précieuses. Les ruelles sont propices aux belles photos donc Elod ne se gêne pas, elle a repris du poil de la bête, c’est cool !
20 octobre
Retour aujourd’hui à Lhassa par un long trajet. Malheureusement, nous avons dû opter pour un changement de programme car le gouvernement (encore lui) a fermé la région du lac Namtso en raison des conditions météo défavorable (mince alors !). On reste coincés au moins 1h30 sur la route en raison de travaux. On profite d’être arrivés tôt à Lhassa pour faire une lessive manuelle (grâce à notre machine à laver portable), skyper les grands-parents, Mégane et Samson, et passer chez le coiffeur pour Fréd. Un must-do lors des voyages que Fréd essaie toujours de tester. A vous d’en juger…coupe tibétaine ou coupe de footeux, c’est selon…ce soir on marchande sec un souvenir local, le fameux bol chantant 😊.
21 octobre
Plan bis : aller découvrir les origines du Tibet un peu plus au Sud, à Tsetang. C’est là que les premières habitations tibétaines ont été construites et d’où proviennent les légendes ancestrales sur l’origine du peuple tibétain. On roule sur une belle autoroute au milieu de la vallée du Yarlung Zangbo qui nous offre des paysages sablonneux avec même quelques dunes (il faut d’ailleurs savoir que les paysages du Tibet sont assez secs et que les montagnes regorgent de mines, on vous laisse deviner qui en fait l’exploitation…). Le premier fort du Tibet est perché sur une colline et domine une vallée de champs bordés d’arbres dorés. C’est un beau panorama. Après avoir repris des forces dans un restau local, le monastère de Tandruk nous offre un aperçu du programme d’un dimanche familial tibétain. Certains enfants considèrent encore le monastère comme une aire de jeu et c’est joli à voir. Ils lancent des billets en guise d’offrande un peu partout. La ville ou nous dormons n’est pas très belle donc pic-nic dans la chambre pour ce soir. (Viande séchée, merci).
22 octobre
Dernier jour au Tibet. Il commence par un déjeuner typique: des légumes, un pain ultra bourratif, une soupe d’orge tiède et un thé salé… miam miam ;). Pour l’anecdote, tous les thermos étaient étiquetés en Tibétain; au moins, le hasard nous a évité le thé au beurre de yak souvent rance ! Sur le retour à Lhassa, on s’arrête au monastère de Samye, le plus vieux du Tibet. Il est situé dans une vallée très verte au centre des dunes et montagnes couleur caramel (adjectif choisi pour maman Monique !). La première salle est merveilleuse, on plonge dans une ambiance très prenante durant la prière du matin où les moines récitent des mantras à la lueur des bougies au beurre. La lumière orangée, les couleurs des décorations éclatantes et l’encens ajoutent une touche singulière à cette atmosphère. En sortant du monastère, on rejoint les jardins où des moines pratiquent les débats philosophiques. On est vraiment ravis d’avoir pu visiter ce monastère historique. Dernier après-midi à Lhassa que nous programmons à notre sauce : visite du palais d’été, Norbulingka, dernier aperçu du Potala et dernière promenade dans le quartier de Barkor (un sacré programme à la mode Barbel !). Norbulingka est un grand jardin fleuri où les palais d’été des Dalaï-lamas sont encore présents. C’est d’ailleurs d’ici que le 14ème Dalaï-lama s’est enfui dans les années 60, et c’est le seul endroit du Tibet où nous trouvons la mention de son nom. Durant notre promenade, nous faisons office d’attraction planétaire pour un immense groupe d’enfants en course d’école 😊. On se réfugie dans un temple pour échapper aux Hello ! My name is… adorables !
Pour le dernier repas, on s’arrête dans un restaurant local…les momos au fromage sont en fait à la couenne, Elodie regrette tandis que Fréd savoure ses côtelettes d’agneau.
23 octobre
Ce matin nous reprenons le train pour la Chine. On offre une plaque de choc au chauffeur et un paquet de viande séchée au guide (il n’aime pas le choc…quelle idée !). C’est avec de l’émotion que nous quittons ce qui fut un rêve : le Tibet. Nous pensons à la chance d’avoir pu visiter cette région du monde chargée d’histoire et d’avoir pu agrémenter ces visites par les explications d’un guide au top. Nous espérons que les tibétains pourront s’approcher de ce à quoi ils tendent et que leur patrimoine culturel soit préservé pour les futures générations. Leur respect pour la nature, les autres et le monde nous a impressionnés et émerveillés. C’est dans cet état d’esprit que nous arrivons au contrôle de sécurité de la gare qui repère la présence de nos deux couteaux suisses. Interdiction formelle de les conserver. Aïe aïe aïe, sacrilège !! S’ensuit un pourparler avec le molosse chef de sécurité.
Nous essayons la technique « nous sommes suisses, c’est très précieux pour nous » qui ne marche pas, la technique « pourriez-vous les emballer avec la mention contrôle de sécurité » ça le fait rire puis la technique « une bonne t’chialée d’Elodie » qui émeut les locaux dans la file mais pas le molosse. Finalement la proposition de les remettre au personnel du train le fait plier. Il nous indique de le suivre en marchant d’un pas vif indiquant que c’est lui le chef^^ cela nous permet de dépasser toute la file et de rencontrer le chef de police du train (quel privilège)…Tout est bien qui finit bien, il accepte de les emporter et on pourra les récupérer quelques heures plus tard ! Ouf !
Le trajet en train est encore plus beau qu’à l’aller car nous voyons, de jour, les plaines tibétaines avec, en toile de fond, lacs et montagnes enneigées. Nous aurons même la chance de voir quelques bêtes sauvages (dommage, pas le Yéti). Nos voisins de compartiment sont exceptionnels. Ils constituent une source de divertissement inouïe durant ces 22 heures de train (et nous aussi pour eux, comme d’hab). Ils nous épient durant tout le trajet et passent la majorité du temps à manger toutes sortes d’aliments locaux. Notamment la viande avariée et froide qu’ils nous proposent à maintes reprises avec insistance. Fréd craque et en mange une ou deux morses (en jetant discrètement le reste dans la poubelle). La nuit est confortable bien que l’odeur de ces deux locaux se soit répandue dans tout le compartiment.
24 octobre
Arrivés à Xining à 6h du mat, nous patentions jusqu’à notre prochain train dans le sous-sol de la gare. Il y fait un peu chaud et nous pouvons nous atteler à la préparation de notre prochain pays, l’Inde. Nous sommes très heureux de savoir que Jeanne, Fiona et Marie-Laure viennent nous rejoindre à Dehli dans quelques jours !!!
On enchaîne avec un 2ème très long trajet en train pour Pékin (aussi 22h) ce qui nous mettra presque 44 heures de train dans les pattes en 2 jours. Nous avons l’occasion de finir cet article, de trier les photos, avancer dans les vidéos, etc…
Prochaine étape : Pékin et la grande muraille pour les 6 derniers jours en Chine. Toujours pas de vidéos, nous attendrons probablement l’Inde 🙂
Magnifique récit, avec beaucoup de détails! On s’y croirait presque!:) vous êtes toujours aussi rayonnants! Fred ta coupe est merveilleuse! Je dirai que c’est une coupe tibétaine! Bravo!
Coucou… top ! Ça sera encore plus fou quand on arrivera à mettre quelques vidéos 🙂
Ahaha… merci pour ton opinion sur la coupe !
On t’embrasse !
Wouah! Magnifiques vos photos!! Merci pour vos récits détaillés. Ça fait rêver !
On a reçu les codes pour voir les vôtres! On se réjouit <3
Hello les jeunes magnifique ces photos et ces paysages et le récit nous fait rentrés directement dans la culture du Tibet et dans leur religion le bouddhisme c est merveilleux j espère que Élodie c est bien remise 👍nous vous souhaitons bon voyage à Pékin.nous vous faisons plein bisous 😘 on vous aime très fort ❤️💕❤️💕❤️💕☘️
Hello ! Oui, Elodie est bien remise et était d’attaque à Pékin pour arpenter la muraille. 🙂
On vous embrasse fort !
Waouh, une bonne lecture de vos dernières fabuleuses aventures !
Merveilleuse découverte du Tibet et de ses paysages fantastiques. Nous voyageons avec vous et restons en attente des lignes suivantes qui apportent toujours leur lot de découvertes pour nous qui sommes si loin mais également un récit jalonné de vos déboires qui nous fait partager votre quotidien. Merci a vous pour tout cela et profitez pleinement de toutes vos péripéties. Continuez a prendre bien soin de vous. Gros bisous de Verdun.
Lydie, Patrick, Jules, Michelle et Alain
Hello la famille ! Super sympa votre message. On aime bien vous faire profiter de nos péripéties! Il y en aura d’autres prochainement 🙂
L’Inde va nous réserver de belles surprises! Gros bisous
Merci pour vos récits ! C’est super de pouvoir suivre les différentes étapes de votre voyage !
De rien les copains. On va poster le suivant ce soir 😉 bisous
Visionnage depuis Giraumont…
On est content de voir vos photos et de vous savoir en pleine forme. De belles images pour agrémenter un bon plat de lapin et polenta !!!
Nous pensons bien à vous. Continuez votre beau périple en bonne santé.
Gros bisous
Papi et Mamie
Coucou Papi et Mamie,
MERCI beaucoup pour votre message.
Waouw… un plat de lapin et polenta ! Miam… quelle chance !
Gros bisous et à bientôt. On pense bien à vous !
Hello.
Une fois encore merci de nous faire partager Vos aventures , d’y ajouter moultes details et de sublimes photos.
Le Tibet … Rêve de chacun d’ entre nous lecteur ou lectrice de Tintin au Tibet. On se remémore les personages , les décors, l’ ambiance que vous décrivez si bien. Merci de prendre tout ce temps pour nous afin de vous suivre.
On vous sent heureux. 👫 Zen. Plein de gratitude. 😍C’ est merveilleux. 💝 Merci Fred de prendre soin d’ Elodie.❤️ Toute bonne suite d’ aventures. On vous embrasse bien fort.
yves et monique
Hello,
Merci pour ton message. Oui c’est plein de gratitude qu’on poursuit notre périple. On essaie de profiter de cette chance de pouvoir découvrir le monde… on a tellement aimé le Tibet et cette spiritualité qui est le pilier de leur existence.
Bonne suite de lecture!
Gros becs